Ils ne veulent pas s’aliéner la population. Les enseignants fribourgeois peu tentés par la grève

Réunis en assemblée vendredi soir, les délégués de la Société pédagogique fribourgeoise francophone (SPFF) ont semblé privilégier un débrayage le 1er octobre. Des scénarios seront évoqués mardi prochain.

Aux difficultés rencontrées par les enseignants fribourgeois dans le cadre de l’école inclusive s’ajoutent des menaces sur leurs salaires.Keystone/photo prétexte
Marc-Roland Zoellig

Marc-Roland Zoellig

12 septembre 2025 à 22:40, mis à jour le 15 septembre 2025 à 15:47

Temps de lecture : 2 min

Les enseignants fribourgeois, déjà malmenés par les contraintes liées à l’école inclusive et indignés par le peu d’écho donné à leur mal-être dans le récent audit externe conduit au sein du Service de l’enseignement obligatoire de langue française (SEnOF), craignent à présent pour leurs salaires. Quelle forme prendra leur opposition au programme d’assainissement des finances de l’Etat (PAFE)? Vendredi soir, lors de l’assemblée des délégués de la Société pédagogique fribourgeoise francophone (SPFF), les thèmes de la mobilisation du 24 septembre et de la grève du 1er octobre, votées jeudi soir par une courte majorité des membres du personnel de l’Etat réunis en assemblée extraordinaire, ont bien entendu été évoqués.

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