École primaire. Ce qu’il est censé se passer lorsque le plan AMOK est actionné

Choisir entre se barricader ou s’enfuir: cette étape de la procédure présentée par la police cantonale a suscité des questions dans le public d’enseignants. Début septembre, ils ont été convoqués au CO de La Tour-de-Trême. L’objectif étant de les préparer à réagir en cas d’attaque.

Jean-Michel Beaud (à g.) et David Blanc ont décortiqué les quatre étapes du plan AMOK devant le public d’enseignantes et enseignants de la Gruyère.
Jean-Baptiste Morel
Anaïs Rey

Anaïs Rey

13 septembre 2025 à 00:00

Temps de lecture : 3 min

Des situations d’extrême danger dans les écoles, des individus armés qui pénètrent les bâtiments scolaires, des prises d’otages… Bien souvent, ces scénarios catastrophe se passent à l’étranger, ils nous sont rapportés sur les chaînes d’informations. Pour autant, la police fribourgeoise dispose d’un plan d’action clair si le cas de figure devait se produire dans le canton. Son nom est «AMOK». Son rôle? Préparer à réagir en cas d’attaque en milieu scolaire et public (lire encadré).

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