Choisir entre se barricader ou s’enfuir: cette étape de la procédure présentée par la police cantonale a suscité des questions dans le public d’enseignants. Début septembre, ils ont été convoqués au CO de La Tour-de-Trême. L’objectif étant de les préparer à réagir en cas d’attaque.
Anaïs Rey
13 septembre 2025 à 00:00
Temps de lecture : 3 min
Des situations d’extrême danger dans les écoles, des individus armés qui pénètrent les bâtiments scolaires, des prises d’otages… Bien souvent, ces scénarios catastrophe se passent à l’étranger, ils nous sont rapportés sur les chaînes d’informations. Pour autant, la police fribourgeoise dispose d’un plan d’action clair si le cas de figure devait se produire dans le canton. Son nom est «AMOK». Son rôle? Préparer à réagir en cas d’attaque en milieu scolaire et public (lire encadré).
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