Des traductions qui manquent cruellement

Vincent Caille

Vincent Caille

2 septembre 2025 à 05:00

Temps de lecture : 2 min

A la HEIA-FR, le traducteur patois a côtoyé 125 autres projets lors de l’exposition annuelle. Tous présentés fin août, ils dessinent l’éventail de l’école: enzymes contre les superbactéries, outils médicaux pour tester un poignet, simulateurs pour décarboner les ferries. «Il y a six filières dans l’école. Le spectre est immense, de la médecine au génie civil, de l’industrie aux cultures locales», résume Yves Schouwey, responsable de la communication. Un fil conducteur pourtant: «Des solutions innovantes, liées à un besoin réel, développées avec des acteurs concrets. L’objectif est de vivre une expérience professionnalisante.»

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