Lac de la Gruyère. La société de développement n’a pas prévu de se dissoudre

Malgré l’entrée en vigueur de la nouvelle loi sur le tourisme, ni la Société de développement du lac de la Gruyère, ni l’Association touristique de la vallée de la Jogne (AT3C) n’ont prévu de se dissoudre.

Ann-Christin Nöchel

Ann-Christin Nöchel

3 juin 2024 à 18:48

Temps de lecture : 2 min

Contrairement aux sociétés de développement de Gruyères-Moléson-Broc et de Bulle et environs (La Gruyère du 25 mai), celle du lac de la Gruyère (SDLG) n’a pas prévu de se dissoudre. «En tout cas pas dans un premier temps», a communiqué sa présidente, Géraldine Barras, également conseillère communale à Pont-en-Ogoz. Réunissant dix communes de la Basse-Gruyère et certains acteurs touristiques de la région comme la Société des remontées mécaniques de La Berra, l’association tenait son assemblée mardi dernier à Sorens. Le tourisme quatre saisons et le développement du lac comme pôle touristique sont autant de thèmes qui font de la SDLG une organisation «intéressante pour la région». Dans ce sens, elle pourrait ainsi «faciliter le dialogue avec les instances touristiques ou les autorités cantonales».

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