A la salle CO2, la comédienne Fanny Ardant s’empare de La blessure et la soif, de Laurence Plazenet. Seule en scène, elle raconte un amour fou, au temps de La Fronde.

Aujourd’hui à 05:00, mis à jour à 09:30
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Il faudra oublier les polémiques, son soutien à Gérard Depardieu, son absence de réticences à se produire dans la Russie de Poutine. C’était en juin dernier: «Jouer à Paris ou à Moscou, c’est égal», déclarait Fanny Ardant en conférence de presse, devant les médias locaux. En ajoutant: «Pour moi, la Russie est une terre de poésie.» La saison culturelle CO2, qui a hésité sur l’attitude à adopter face à une comédienne assumant cette position, a choisi de la maintenir au programme (La Gruyère du 20 septembre). Notamment par admiration pour La blessure et la soif, «le texte sublime» qu’elle va interpréter seule en scène, ce vendredi à La Tour-de-Trême.
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