«J’ai dû dire “non” et ce n’est pas facile»

«Il a fallu interdire certaines pratiques. Si on avait fermé les yeux, ça n’aurait pas joué», avoue le lieutenant de préfet Vincent Bosson, qui a assumé le rôle de préfet ad interim durant la pandémie. THOMAS DELLEY
Christophe Dutoit

Christophe Dutoit

27 juin 2020 à 07:00

Nommé lieutenant de préfet il y a deux ans, Vincent Bosson a vécu la pandémie à la tête du château de Bulle, en l’absence de Patrice Borcard.

Le Riazois raconte comment il a répondu à de nouvelles questions chaque jour et comment il a fait respecter l’ordre public durant cette crise.

De retour à la normale depuis une semaine, la préfecture s’attelle à...

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