Rwanda. Mémoire vivante d’un génocide

Le 11 avril 1994, César Murangira échappe par miracle à ses bourreaux. Le génocide tutsi a emporté presque toute sa famille. Trente ans après, le président d’Ibuka-Suisse continue inlassablement de témoigner par devoir de mémoire.

César Murangira avait 20 ans lorsqu’il a réussi à échapper aux machettes de ses bourreaux.Chloé Lambert
Philippe Huwiler

Philippe Huwiler

6 avril 2024 à 00:00

Temps de lecture : 5 min

A le voir, sourire aux lèvres et regard rieur, difficile d’imaginer que César Murangira a échappé à la barbarie du génocide des Tutsis au Rwanda. Et pourtant… «Je ne mets pas entre parenthèses cette vie-là, mais j’avance. Les gens qui ne me connaissent pas ne peuvent pas savoir que j’ai traversé ça.»

Vous voulez lire cet article ?

Abonnez-vous dès maintenant et recevez un petit coup de pouce local

📱 pour seulement CHF 79.– au lieu de CHF 135. –
🎁 + recevez un bon d’achat chez les commerçants de Bulle

Votre abonnement c'est :

  • 🕔 Votre journal en PDF dès 5h
  • 🔓 Un accès illimité à tous nos contenus

Déjà abonné(e) ? Se connecter

Dans la même rubrique

Société

Artista non grata, quand les artistes ne sont plus les bienvenus

Quel que soit leur domaine d’activité, les programmateurs culturels sont confrontés à des artistes embarqués dans des polémiques.Se pose alors l’épineuse question de savoir s’ils doivent être accueillis ou non dans ces conditions.Intégrée à la saison de la salle CO2 qui commence, Fanny Ardent entre dans cette catégorie.