Vampire Weekend. Un brin prétentieux et hors des clous

Christophe Dutoit

Christophe Dutoit

18 avril 2024 à 00:01

Temps de lecture : 1 min

Depuis 2008, les New-Yorkais de Vampire Weekend jouent dans la catégorie inclassable, avec leur pop indépendante mâtinée d’Afrique, d’échappées hip-hop et de libertés à regagner au détour de chaque chanson.

Vous voulez lire cet article ?

Abonnez-vous dès maintenant et recevez un petit coup de pouce local

📱 pour seulement CHF 79.– au lieu de CHF 135. –
🎁 + recevez un bon d’achat chez les commerçants de Bulle

Votre abonnement c'est :

  • 🕔 Votre journal en PDF dès 5h
  • 🔓 Un accès illimité à tous nos contenus

Déjà abonné(e) ? Se connecter

Dans la même rubrique

Société

Artista non grata, quand les artistes ne sont plus les bienvenus

Quel que soit leur domaine d’activité, les programmateurs culturels sont confrontés à des artistes embarqués dans des polémiques.Se pose alors l’épineuse question de savoir s’ils doivent être accueillis ou non dans ces conditions.Intégrée à la saison de la salle CO2 qui commence, Fanny Ardent entre dans cette catégorie.