Souvent secoués deux fois

«Quand vous êtes dans votre cabinet ou aux urgences d’un hôpital, que c’est l’hiver avec toutes sortes d’épidémies, que vous êtes face à un petit qui vomit… c’est parfois difficile de penser au SBS», note Jean-Jacques Cheseaux.

9 mars 2019 à 06:00

Les personnes qui secouent un bébé échappent souvent à la justice. Parce qu’elles n’ont pas pu être identifiées ou parce que leur acte n’a pas été détecté. Au CHUV, deux tiers des victimes identifiées ont subi plusieurs fois cette maltraitance.

XAVIER SCHALLER

Le pédiatre Jean-Jacques Cheseaux est médecin-chef au Département femme-mère-enfant au CHUV, à Lausanne. Il est membre fondateur du groupe hospitalier...

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