«Une décision non adéquate» de la justice vaudoise

| mer, 15. mai. 2013
Le président du Tribunal cantonal administratif vaudois Jean-François Meylan reconnaît que C.D. ne devait pas être au bénéfice d'arrêts domiciliaires. Une enquête est ouverte.

Le Tribunal cantonal vaudois a ordonné une enquête administrative pour faire la lumière sur la pertinence de la décision de mettre en arrêts domiciliaires le ravisseur de Payerne (VD). L'enquête sera confiée à un expert extérieur, qui n'a pas encore été désigné.Aujourd'hui, au vu des faits qui se sont produits, il apparaît que cette décision «n'était pas adéquate. Les juges sont des hommes et des femmes et ne sont pas infaillibles», déclare Jean-François Meylan, le président du Tribunal cantonal vaudois.
A tous les stades de la procédure, les autorités doivent effectuer le «difficile examen du risque de récidive». Le ravisseur avait été mis en arrêts domiciliaires en août 2012, puis réincarcéré le 23 novembre, avant d'être remis en arrêts domiciliaires le 14 janvier.
L'Ordre judiciaire doit aujourd'hui se demander qu'elle était la pertinence de cette dernière décision au moment où elle a été prise, le 14 janvier 2013, au vu et en fonction des éléments que le juge avait à sa disposition, a ajouté Jean-François Meylan. Pour le déterminer, «un regard extérieur s'impose».ATS

Commentaires

La décision n'était pas difficile, un type qui a violé et tué on ne le relâche pas dans la nature, point à la ligne! D'une part pour le caractère ignoble du crime, d'autre part parce que ce genre d'individu sera toujours à risque! Si notre système judiciaire était sein et/ou rationnel, jamais ce type ne serait sortit de prison! Aucune excuse revoyez les lois et qu'on ne libère plus les ordures de ce genre!

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