Bien installé dans la Broye et les Préalpes, le sanglier cause d'importants dégâts aux cultures.
Malgré les mesures prises, sa régulation pose un problème.
Le nombre de bêtes tirées par les chausseurs tagne, mais le tableau des gardes-faune croît.
XAVIER SCHALLER
FAUNE. Pas de répit pour les sangliers. En plaine ou en montagne, les chasseurs peuvent aller en débusquer autant qu’ils veulent. Ou les attendre au tournant, du haut d’un mirador, dans les réserves nationales ou cantonales. Les gardesfaune en tirent aussi hors période de chasse. Rien n’y fait. Les sangliers continuent leurs dégâts dans les cultures.
Le début de l’année a été particulièrement agité, selon la réponse du Conseil d’Etat à une question du député Nicolas Kolly (udc, Essert). Près de 101 000 francs d’indemnités ont…