Ce lecteur revient aussi sur l’affaire Migros.
Je suis victime à mon tour d’un coup de «Blues Nostalgique M», Migros change comme le reste du monde. Dinosaure ou papillon? La Migros préfère papillonner. Alors en tant qu’ancien employé «dinosaure» au service de cette superbe entreprise M, je dois bien admettre que depuis les années 2000, les valeurs d’écoute, de loyauté et de présomption d’innocence, comme du respect des employés ont changé à Migros, mais pas seulement à Zurich, comme semble le dire Messieurs Menoud et Piller, mais également dans les coopératives et entreprises de la communauté. Bon nombre d’anciens collaborateurs pourraient également en parler. Mais le droit de parole existe-t-il vraiment pour tous à Migros? Pour rappel, en théorie, la FCM appartient aux coopératives et non le contraire, selon les statuts. Depuis quand veut-elle diriger? Ou alors, y a-t-il une autre idée de gestion économique derrière ces agissements? Attendons pour voir. Je me rappelle avec nostalgie les paroles de mon ancien directeur, qui m’a dit un jour: «Quand on est mort c’est pour longtemps. Mais quand on est bête c’est pour la vie!» L’ambition forcenée c’est comme les échasses, cela hausse l’homme, mais ne l’élève pas. En ce vous avez raison Monsieur Menoud, quel gâchis et quelle tristesse de l’image donnée de part et d’autre. Niveau classe enfantine, «c’est pas moi c’est l’autre». Alors n’oubliez pas chers «new» managers Migros, que seuls vos «clients» décideront de votre avenir. Rolf Nicod, Charmey