La présidente de la Jeunesse de La Tour-de-Trême précise que sa société s’engage bel et bien en faveur des personnes à risque.
Etant présidente de la Société de jeunesse de La Tour-de-Trême, je me permets de réagir à la suite de la lecture de l’article «Des connexions non virtuelles» paru dans La Gruyère de ce jeudi. En effet, j’ai lu une information qui me paraît fausse. Je m’explique… Dans l’article, il est stipulé: «A Bulle, il n’y a pas de société de jeunesse pour mettre ses bras à disposition des personnes âgées.» Cette phrase m’a particulièrement surprise et heurtée puisque cela fait maintenant une dizaine de jours que les membres de la Jeunesse de La Tour et moi-même avons mis en place un service d’entraide à disposition de toutes les personnes à risque.
Je pense que La Gruyère n’était pas au courant, mais j’ai eu l’occasion d’avoir un entretien téléphonique avec la commune de Bulle, donc son syndic aurait dû être informé de notre action…
Ecrire qu’aucune jeunesse ne s’est mise à la disposition des habitants et habitantes de la commune de Bulle donne une mauvaise image de notre société. Je suis consciente que toute la population ne peut pas être tenue informée, mais la Société de jeunesse de La Tour ne peut pas financer un tout-ménage pour l’ensemble de la localité.
Nous avons mis des feuilles sur les vitrines de divers commerces, dans des immeubles et maisons, mais nous ne sommes pas surhumains, il est probable que certains bâtiments n’aient pas été
visités.
Je tiens donc à rappeler que nous proposons notre aide pour les achats alimentaires et pharmaceutiques, mais aussi pour aller à la déchetterie, garder des enfants, promener les chiens. Pour ce faire, nous sommes atteignables au 079 720 47 60 ou au 079 191 40 14.
Alizée Reuter, présidente de la Société de jeunesse de La Tour-de-Trême