A propos de la présidentielle américaine.
Enfin nous voici débarrassés du vilain canard de la Maison-Blanche. J’ai fait un rêve et celui-ci a été exaucé. Plus que deux mois à entonner le «dégage» cher aux jeunes. «Vade retro satanas, vade retro!» Je relis le philosophe François-Xavier Putallaz (Le Mal, Editions du Cerf): «Le mal bouleverse nos vies, c’est un fait. Tristesse, douleur, souffrance font irruption dans chaque existence, avant même qu’on y pense…» On n’a pas eu le temps d’y penser, il y a quatre ans, que déjà il était là, le Donald!
«Le bien jouit d’une primauté absolue, qui nourrit l’espérance: il sera toujours le plus fort.» C’est bien vrai, allez, ouste! dehors le locataire de la White House. Ton bail est résilié. Le monde va enfin pouvoir respirer, même malgré «la» Covid. Pardon aux féministes: ce n’est pas moi qui ai choisi le genre du mot. Mais on dit le virus. Match nul!
Bravo Kamala Harris et Joe Biden, bonne chance pour la suite!
Pierre Seydoux, Bulle