Interpellé pour une affaire en cours d’examen auprès du Ministère public, le Conseil d’Etat rappelle les conditions d’engagement des gardes-faune auxiliaires.
CHASSE. En juillet dernier, lors d’un banal contrôle routier nocturne, la police cantonale était tombée sur un garde-faune auxiliaire transportant la carcasse d’un sanglier abattu durant la nuit. Sur le siège passager, un fusil chargé, équipé d’une lunette de vision nocturne et d’un silencieux. Autant d’actes interdits pour le chasseur lambda (La Gruyère du 3 septembre).
Le député Benoît Glasson (plr, Sorens) s’en était inquiété dans une question au Conseil d’Etat. Dans sa réponse, le Gouvernement commence par rappeler qu’aucune procédure pénale n’a été ouverte à ce jour contre ce garde auxiliaire et que le dossier est encore en…