Mécanicien de profession, Simon Chatelan considère ses piolets comme des outils. Grâce à eux, il peut lire entre les lignes existantes pour ouvrir de nouvelles voies, dans les Alpes comme dans les Préalpes. Il prépare d’ailleurs un topo qui regroupera plus de 1000 voies mixtes ou dry. Sortie prévue à l’automne.
SOPHIE ROULIN
Son premier sommet a été… le château de Vaulruz. Pas très loin de la maison où il a grandi et où il a découvert l’escalade, en compagnie de son frère. «On avait 14 ou 15 ans. Ce n’était pas très respectueux, mais on ne s’en rendait pas compte.»
Depuis, Simon Chatelan a évolué vers d’autres parois, en rocher, mais aussi en glace. Ses domaines de prédilection sont désormais le dry-tooling – version sèche de la cascade de glace – et les voies mixtes. Mais loin de se…