Bandana et big-bang

mar, 16. fév. 2021

Une chanson, son histoire ou les souvenirs qui lui sont liés: tel est l’objet de cette chronique, issue de «Je ne laisserai jamais dire que ce n’est pas la plus belle chanson du monde». Un blog décliné en deux livres.

J’avais quoi? 11 ou 12 ans, il me semble. Et puis 14, 17… «On n’est pas sérieux quand on a 17 ans», paraît-il. Parfois si: Renaud, c’était sérieux.

Disons 12 ans, donc, ce jour où mon père a lâché: «C’est lui, Renaud.» A la télé, un gars en perfecto et longs cheveux. Je ne sais plus ce qu’il a chanté, mais le lendemain, j’ai voulu une cassette, puis une autre. J’ai tout appris par cœur, les cinq albums, de Camarade bourgeois à A quelle heure on arrive? en passant par Hexagone, Laisse béton, Marche à l’ombre, La tire à DédéLes charognards et des trucs improbables comme La…

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