A propos des Communales à Pont-en-Ogoz.
Il y a plus d’un an, un mois avant que notre pays ne plonge dans cette crise sanitaire sans précédent, nous avons perdu tragiquement notre fils de 13 ans. Cette épreuve, comme chacun peut s’en douter, fut un tsunami pour notre famille, mais aussi pour toutes les personnes, enfants et adultes, qui ont connu de près ou de loin notre fils.
La mort d’un enfant n’est pas dans l’ordre des choses et nous renvoie chacun à ce sentiment douloureux d’impuissance. Comme le dit si bien Khalil Gibran: «La tristesse apprend le langage des cœurs.» Nous avons pu le mesurer par l’incroyable élan de solidarité que les gens nous ont porté, et en particulier les habitants de notre commune, que nous tenons encore vivement à remercier. Cette épreuve nous a confortés dans…