La salle CO2 accueille durant toute la semaine Gjon’s Tears pour une toute première résidence artistique en période de Covid. L’occasion de renouer avec le monde du spectacle.
ÉLODIE FESSLER
Des faisceaux de lumière effectuent un ballet aérien au-dessus de la scène, les projecteurs s’agitent, les techniciens s’activent, une voix s’élève des haut-parleurs et gagne les 758 fauteuils rouges de la première salle de spectacle du canton.
La salle CO2, à La Tour-de-Trême, est tirée de son hibernation forcée grâce à la tenue d’une résidence artistique. Elle accueille Gjon’s Tears durant toute la semaine.
Il s’agit de la première parenthèse créative depuis le début de la crise sanitaire, précise Alain Grand, administrateur de la salle CO2. L’idée est de donner un espace de création à des artistes…