Une chanson, son histoire ou les souvenirs qui lui sont liés: tel est l’objet de cette chronique, issue de «Je ne laisserai jamais dire que ce n’est pas la plus belle chanson du monde». Un blog décliné en deux livres.
Alors oui, j’aurais pu parler de tant d’autres chansons, de tant d’autres artistes: c’est qu’ils sont nombreux à se chamailler dans ma caboche pour la première place, la fameuse, celle de la chanson qu’on garde entre toutes, celle dont on choisit de parler au détriment des autres. Georges, Léo, Charles; ou Wolfgang, ou Kurt, ou Nina, ou même Bob… C’est qu’il m’est difficile de faire le tri entre les belles et la plus belle, parmi toutes ces notes qui m’accompagnèrent et me firent grandir. Mais aujourd’hui, c’est le grand Jacques qui remporte cet insigne honneur, pour sa…