Des poissons de roches. Salés en mer, doux dans les eaux de nos rivières et de nos lacs. Cela donne en premier la fameuse bouillabaisse méditerranéenne. Dans le second cas, c’est la pochouse, une soupe de poissons d’eau douce transfrontière.
PIERRE-ÉTIENNE JOYE
Ça gargouille franco de port au coin de l’eau ou ça frémit luxueusement dans les cuisines des palaces. Il y a un côté à la fois très populaire et élitiste quand on parle de soupe de poissons. A la base, ce sont des plats simples, mais qui nécessitent des matières premières de toute fraîcheur. C’est le cas avec la bouillabaisse et la pochouse.
Passons-les en revue, le temps de mettre la table. Pas compliqué pour deux sous, il suffit d’un chaudron et de récipients creux. Ça, c’est pour la version popu. Si l’on veut se la jouer tape…