A l’occasion de la Grève féministe, la place Georges-Python sera à nouveau rebaptisée place Georgette-Pythonne mercredi.
Prises de parole, chants et traditionnel cortège sont au programme de l’aprèsmidi.
Quatre féministes du Sud fribourgeois partagent leurs attentes et motivations pour ce 14 juin.
ANGIE DAFFLON
MOUVEMENT. «Ni patriarcat. Ni frontières.» Le tatouage donne le ton et reflète l’engagement d’Adri. A 19 ans, iel (l’écriture inclusive est de mise, Adri étant non binaire) s’apprête à participer à sa quatrième Grève féministe. «J’y prends part parce que je suis en colère.» Un sentiment né de son vécu, entre violence domestique et démarches complexes à l’administration judiciaire. Mais aussi d’un constat: «Il y a tellement de personnes qui ont vécu des violences sexistes ou…