Deux affaires de viol ont occupé hier le Tribunal pénal de la Gruyère. Les parties civiles expliquent que du GHB a été utilisé par le prévenu. A défaut de preuves, le Ministère public le soupçonne d’avoir profité du taux d’alcool trop élevé des victimes. Il risque une peine de cinq ans.
VALENTIN CASTELLA
JUSTICE. Deux plaignantes d’un côté, un accusé de l’autre. Caché derrière un paravent, l’homme, âgé de 30 ans et d’origine marocaine, a l’interdiction de bouger afin de ne pas apparaître aux yeux des victimes présumées.
Hier au Tribunal pénal de la Gruyère, une affaire un peu particulière était jugée. Deux femmes prétendent avoir été violées en automne 2020 par le même homme, à un mois d’intervalle. La question de l’utilisation de GHB a été évoquée par les parties civiles. Au moment des…