«J’ai constaté un début illégal des travaux, que j’ai immédiatement fait stopper», affirme-t-il, confirmant ainsi une information des riverains. Ces immeubles ont fait l’objet d’une mise à l’enquête en juillet 2012 et le dossier tourne actuellement dans les services de l’Etat. Il fait également l’objet d’oppositions, qui n’ont pour l’heure pas été traitées. Quant à la possibilité d’une autorisation anticipée, elle n’est pour
l’instant pas envisagée par la préfecture, qui ne peut pas se prononcer avant d’avoir reçu le dossier du Service des constructions. A noter que deux autres chantiers débutés de manière illégale ont été arrêtés par le préfet en ce début de semaine. CD
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