Ils ont entre 60 et 88 ans et se retrouvent, nombreux, chaque jeudi au thé dansant du Pafuet.
Et ils viennent parfois de loin pour profiter de «la plus belle salle de danse de Suisse romande».
Rencontres et anecdotes au Palais de la danse, à la veille de la Saint-Valentin.
MARTINE LEISER
L’orchestre enchaîne les morceaux, ça valse, ça tangue, ça swingue! Sur la piste, les messieurs conduisent ces dames, certains avec application, d’autres avec décontraction et humour. Ils sont plus d’une centaine, ce jeudi, à s’être donné rendez-vous au Palais de la danse, au Mouret. Des mains se serrent, les gens s’embrassent, retrouvent «leur table», alors que d’autres en sont déjà à leur cinquième danse… ou à leur cinquième cavalière.
«Il y a généralement plus de femmes que d’hommes», relève Anne, 73…