Parce que c’était Johnny, quoi…

jeu, 07. déc. 2017

Aucun mot ne paraît assez fort: Johnny Hallyday était une icône, une légende, un monument. De ceux que l’on croit immarcescibles. Ni les modes ni les années n’ont réussi à flétrir ce destin hors du commun. Il a fallu une saloperie de cancer pour y mettre fin.

Depuis l’annonce de sa disparition, la France et la francophonie semblent en deuil. Qui l’aurait cru, le jour où cet adolescent timide a chanté pour la première fois à la télévision? C’était en 1961 et l’époque lui prédisait la trajectoire de nombreuses nouvelles vedettes, hier comme aujourd’hui: dans six mois, on n’entendra plus parler de lui.

Pas Johnny. Johnny, ce n’était pas pareil. Il s’est adapté, il a trouvé les auteurs-compositeurs qui parlaient à l’air du temps. Mais sa voix et ses chansons simples, directes, ne suffisent…

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