Avec Elektrik, présenté vendredi à la salle CO2, la chorégraphe Blanca Li retrouve la danse électro. Un spectacle tout en rythme et en fougue.
En science comme en culture «rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme»: même la danse contemporaine la plus récente, la plus novatrice, garde des racines. Elle les puise dans le baroque, par exemple, comme le rappelle le début d’Elektrik, pièce de la chorégraphe Blanca Li présentée vendredi soir à la salle CO2 de La Tour-de-Trême. En costard et masques d’oiseaux, les huit jeunes danseurs ont les mouvements et les attitudes des danses de jadis. Comme un hommage, avant de tout balayer par leur énergie.
En 2010, Blanca Li mettait pour la première fois la danse électro sur un plateau, en travaillant avec des lycéens. Les revoici, huit ans…