Vive les vacances et le cinéma sans pénitence

sam, 14. oct. 2017

AU PRADO. Alors là, bravo. Sortir au moment des vacances scolaires un film qui s’appelle L’écolebuissonnière, il fallait y penser. Pour ce deuxième long métrage de fiction, Nicolas Vanier reprend plusieurs ingrédients du premier, Belle et Sébastien: une histoire d’enfant, de nature tellement belle, mais qui peut être aussi cruelle, d’animaux tellement beaux, mais qui peuvent être dangereux et d’humains tellement méchants, mais qui peuvent aussi être bons, au fond. Tout au fond.

L’école buissonnière se déroule en 1930, à peu près l’époque où cette expression est devenue désuète. Le petit Paul quitte son orphelinat parisien pour rejoindre la Sologne, où il est confié à la famille d’un garde-chasse. Il se noue d’amitié avec un braconnier (François Cluzet), découvre la nature, la forêt, les…

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