Carmen Buchillier vient de quitter son poste d’archéologue cantonale. Elle a dirigé le service pendant sept ans, mais y a travaillé plus de trente ans. A 60 ans, elle envisage une retraite active, notamment dans le patrimoine immatériel.
SOPHIE ROULIN
Lassée, Carmen Buchillier? En tout cas pas de l’archéologie à l’entendre s’enthousiasmer pour une cruche datant du 1er siècle apr. J.-C., trouvée en 1963 (lire ci-dessous), ou à l’évocation des potentielles découvertes futures. Pourtant, elle a quitté son poste d’archéologue cantonale à la fin du mois de mars.
A 60 ans, elle envisage une retraite active où se mêleront le chant, l’étude des lettres, mais moins anciennes que le latin et le grec puisque c’est le patois gruérien qui a désormais les faveurs de la Touraine, et pourquoi pas…