Au Mondial, l’assistance vidéo (VAR) aide autant qu’elle a changé la donne pour les arbitres.
Nouvelle pression et polémiques: décryptage des impacts avec trois acteurs du milieu.
Si la vidéo séduit, elle doit rester à sa place.
«Je n’ai pas envie que la VAR décide de tout», souligne l’assistant fribourgeois Jean-Yves Wicht.
QUENTIN DOUSSE
A l’heure d’entamer les phases finales (avec France-Argentine à 16 h), cette Coupe du monde en Russie a déjà battu des records: celui du nombre de penalties d’une part, mais surtout celui du nombre de polémiques déclenchées. Plus une mi-temps ne se joue sans qu’on parle d’elle. Elle? C’est la VAR (pour Video Assistant Referee), cet acronyme désignant le dispositif d’assistance vidéo à l’arbitrage en vigueur sur les terrains russes. Pour la première fois…