CONSTAT. Le bien et le mal, le noir et le blanc, le yin et le yang, les deux faces de Janus. Ou du Joker de Batman. Cette Coupe du monde offre du formidable et du détestable. Normal: quand un événement rassemble autant d’émotions, pour certains elles tirent vers le haut et appellent à un humanisme rassembleur, et pour d’autres elles réveillent de coupables pulsions. Cela vaut chez les joueurs comme chez les spectateurs. Il y a ceux qui adorent vibrer devant des matches diffusés sur grand écran et qui deviennent copains avec toute la fan zone parce que le foot, finalement, c’est pour le plaisir de boire un verre avec des copains. Et il y a les hatersdes réseaux sociaux qui se précipitent pour s’étonner que seuls trois joueurs de la Nati chantent l’hymne national (qu’est-ce qu’on s’en…