Les grandes nations s’essoufflent, pas Poutine

mar, 03. jui. 2018

Un bon match est comme un bon roman: il développe une histoire attrayante, se termine de manière parfois dramatique et laisse un goût amer ou délicieux, c’est selon. Le scénario des huitièmes de finale, souvent haletant, vérifie cette affirmation. A chaque rencontre son histoire, racontée différemment par des auteurs plus ou moins inspirés.

Illuminé comme Mbappé, prodige français de 19 ans aux pieds d’or; motivé comme Modric, plaque tournante géniale de la Croatie, rendue humaine par son penalty manqué; essoufflé comme Messi, l’esprit du FC Barcelone, fantôme en sélection; grillé comme Ronaldo, fatigué de porter une nation entière à bout de bras, victime du syndrome de la page blanche face à l’Uruguay.

Ainsi, ce mondial de surprises ne fait pas le jeu des parieurs. Qui aurait pu deviner…

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