Le décès de Jacques Cesa ne stoppe pas la procédure l’opposant, lui et Massimo Baroncelli, au propriétaire du Moderne. Une seconde expertise confirme la valeur artistique des œuvres en question.
JEAN GODEL
SAGA DU MODERNE. Le décès, il y a une semaine, de l’artiste Jacques Cesa signifie-t-il la fin de la procédure judiciaire l’opposant, lui et son ami Massimo Baroncelli, au propriétaire du Moderne, l’architecte genevois Michel Acquaroli? Si la douleur du deuil est encore vive, la question est dans tous les esprits.
Pour Pierre Mauron, avocat des deux artistes, l’affaire suit son cours, indépendamment du décès de Jacques Cesa. En effet, il s’agit d’une procédure opposant, d’un côté, l’architecte genevois Michel Acquaroli, propriétaire du Moderne, et, de l’autre, le préfet de la Gruyère,…