Echos du Parlement

sam, 10. nov. 2018

POINT RENCONTRE. Certains enfants ne peuvent rencontrer leur père ou leur mère que sous surveillance. Dans le canton, ils devaient attendre entre neuf et douze mois pour cela, car les structures de l’association Point Rencontre ne peuvent suivre le rythme. En septembre, les députés avaient accepté de traiter en urgence une motion sur ce sujet. Ils ont accepté hier les propositions du Conseil d’Etat: donner une assise légale forte aux droits de visite surveillés, mais sans procéder à une étatisation de la prestation. Après l’octroi d’une aide pour combler les déficits en 2017 et 2018, un montant supplémentaire de 30 000 francs a aussi été inscrit au budget 2019 pour le Point Rencontre. «Cela devrait permettre au Point Rencontre de trouver des locaux plus adaptés à son activité», a précisé…

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