Le Théâtre des Osses porte Le journal d’Anne Frank à la scène. Un texte que tout le monde croit connaître, «mais on oublie à quel point cette adolescente se révèle vive et drôle», soulignent Geneviève Pasquier et Nicolas Rossier, metteurs en scène.
ÉRIC BULLIARD
GIVISIEZ. C’est un texte pas tout à fait comme les autres. C’est un monument, un témoignage essentiel sur l’horreur de la Shoah, mais aussi une œuvre littéraire bouillonnante de vie, écrite par une adolescente. Mondialement célèbre, Le journal d’Anne Frank se retrouve sur scène, dès ce soir et jusqu’au 10 février, au Théâtre des Osses, à Givisiez.
L’idée de ce spectacle est née d’une séance de brainstorming en vue de futures pièces. «Nous repensions aux livres qui nous avaient marqués», raconte Nicolas Rossier. Le codirecteur…