RTS1, MERCREDI, À 20 H 05
Le refuge des grands marginaux
Loin des grandes institutions psychiatriques isolées à la campagne, le Dracar, son potager et ses poules forment un radeau de verdure au cœur de la ville de Genève. Depuis trois ans, cette petite maison accueille ceux que l’on surnomme «les mauvais patients», des individus réfractaires aux normes, au cadre trop rigide, avec des pathologies parfois lourdes, schizophrénie, bipolarité, dépression, toxicodépendance. Actuellement huit hommes cohabitent au Dracar, avec une liberté presque totale. En favorisant un «aller mieux», l’équipe psychosociale veut avant tout les «renarcissiser», et propose ainsi un autre regard sur la folie, la détresse psychique et sociale.
SLA: mon corps est une prison
La SLA est une maladie dégénérative qui…