Cette lectrice déplore le grignotage du gris sur les espaces verts.

Je rejoins ce qu’écrivent Isabelle Gremaud et Philip Gremaud dans leur tribune libre intitulée «A un ami de passage» (La Gruyère de jeudi): Bulle je ne m’y arrête plus, je vais seulement y faire mes courses.

Je ne demeure pas loin, dans sa «banlieue», ou plutôt devrais-je dire dans une autre banlieue! Lorsque je descends les Monts-de-Riaz, j’ai une superbe vue sur des carrés de béton, aux toits plats.

Je ne vais pas me plaindre, puisque j’ai encore le privilège d’apercevoir la moitié du Moléson, depuis l’extrême gauche de la fenêtre de ma chambre à coucher. Le pied quand même. Laissons béton!

Annick Charrière, Riaz