Le 41e Festival international de ballons, qui s’est terminé dimanche, a attiré 12 000 spectateurs à Château-d’Œx. Pour ceux qui rêvent d’un jour s’envoler seuls, Pierre Galley explique le mode d’emploi.
XAVIER SCHALLER
BALLONS. Pourquoi pas moi? Au Festival international de ballons – quand le temps permet les décollages (voir encadré) – on semble lire cette question dans les yeux des enfants. Et des grands enfants. Responsable de l’école du Groupe des aérostiers fribourgeois (GAF), qu’il a créée il y a trente-cinq ans, Pierre Galley explique comment devenir pilote.
«L’âge d’or, ça a été de la fin des années 1990 au début des années 2000. Il y avait alors 550 ballons immatriculés en Suisse, contre 330 aujourd’hui, dont beaucoup ne volent plus. A l’école de pilotage, jusqu’à quarante…