Jusqu’au 23 mars, le Festival international de films de Fribourg met à l’honneur les comédies romantiques. La conférencière Delphine Chedaleux est venue retracer une histoire de ce genre souvent déprécié.

ÉRIC BULLIARD

Le genre n’a pas bonne presse et rares sont les études parues à son sujet. La comédie romantique, mise à l’honneur cette année au Festival international de films de Fribourg, semble trop formatée, trop attendue. Si elle est aussi dépréciée, c’est peutêtre aussi parce qu’elle demeure prisée d’abord par un public féminin, à l’inverse de genres plus respectés, comme le western ou le film noir. C’est du moins une piste suggérée par l’universitaire Delphine Chedaleux, en conclusion de la conférence qu’elle donnait lundi au FIFF.

Comédie romantique… Tout de suite, on voit des…