Confirmé dans son rôle d’archéologue cantonal, après plus d’un an d’intérim, Reto Blumer revient sur le rapprochement avorté avec le Service des biens culturels et son envie d’une cartographie des vestiges en sous-sol dans le canton. Interview de l’habitant de Châtel-sur-Montsalvens.
CHRISTOPHE DUTOIT
Votre confirmation comme archéologue cantonal intervient au terme d’une longue période de réflexion, notamment un rapprochement avec les Biens culturels…
C’était une phase assez compliquée. En cours de sélection des candidatures, l’idée est apparue d’un rapprochement avec le Service des biens culturels. Avec divers arguments, qui ont leur validité. D’abord, le grand public ne distingue pas forcément pourquoi deux services s’occupent de patrimoine historique. Ni pourquoi chacun se prononce…