L’auteur de ce courrier s’insurge contre le PLR qui a notamment voté contre la Loi sur le CO2.
Le PLR monte sur le tortillard en marche et affiche tout soudain, comme dirait un Vaudois, des préoccupations écologiques, mais un écologisme biaisé, car bâti sur le seul engagement individuel. Ainsi, il évite de se brouiller avec les milieux qu’il représente et les courants qu’il abrite, dont un capitalisme béat, vivant en marge des faits, cultivant un surréalisme existentiel.
Il refile la patate chaude à la masse sociale sans moyens décisifs d’influer sur les grandes actions qu’il faudrait entreprendre pour éviter le pire. Son vote au Conseil national, associé à l’UDC, contre la Loi sur le CO2 est là pour témoigner de l’ambiguïté qu’il nourrit, en somme, une lâcheté opportuniste.
Sans que…