Intime et universel comme une chanson

mar, 24. sep. 2019

Monpèreestune chansondevariété a ouvert samedi la saison culturelle de CO2. Robert Sandoz y raconte son histoire personnelle et nos liens avec la culture populaire.

ÉRIC BULLIARD

On lui pardonne même de nous avoir mis en tête Chanson populaire. Ce n’est pas faute d’avoir résisté: dans Mon père est une chanson de variété – qui ouvrait samedi la saison culturelle de CO2 – Robert Sandoz ne cesse d’expliquer pourquoi il déteste Claude François. Mais il finit par craquer et passer ce titre qui s’en va et revient, qui est fait de tout petits riens…

On lui pardonne parce que l’on sort de ce spectacle à la fois ému et revigoré. «Bonsoir, je m’appelle Robert Sandoz, j’ai 44 ans…», lance d’emblée le comédien et metteur en scène neuchâtelois. Il instille tout de suite un doute sur la frontière…

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