Non, la fin des miroirs routiers n’est pas pour demain. Il n’existe aucune conspiration de Blanche-Neige ni des sept nains contre ces objets dont la franchise peut conduire à de funestes pensées.
Cela dit, cette information – la fin programmée des miroirs routiers, donc – que nous demande de vérifier un lecteur de La Gruyère n’est qu’à moitié fausse. Car une directive interne au Service des ponts et chaussées du canton de Fribourg a bel et bien été édictée en date du 1er octobre dernier afin de définir clairement les règles d’installation, jusque-là un brin floues, de tels équipements. D’abord, il y est stipulé que leur pose «peut être une solution envisageable» pour améliorer la visibilité aux débouchés de routes à faible trafic et aux accès privés sur les routes publiques. Toutefois,…