Fribourg encore, Fribourg toujours, mais au féminin cette fois. Après les Bolzes, les armaillis et les chanteurs, Jean-Théo Aeby donne la parole aux femmes. Le cinéaste nous dit comment et pourquoi.
YANN GUERCHANIK
Le nouveau Jean-Théo Aeby est projeté sur les écrans bullois dès mercredi. Le cinéaste de Ruelle des Bolzes (12 500 entrées) et de Sentier des vaches (18 500 entrées) s’intéresse cette fois aux Fribourgeoises. A travers une cinquantaine de séquences, il filme des femmes de tous horizons qui font battre le cœur du canton.
Comme à son habitude, Jean-Théo Aeby ne s’embarrasse guère de contraintes formelles. Il montre, il interroge, il provoque le récit des unes et des autres au gré de sa fantaisie. De l’ancienne conseillère d’Etat Roselyne Crausaz à la chanteuse Arlette Zola, en…