Avec La soustraction des possibles, le Genevois Joseph Incardona publie un nouveau roman noir où un professeur de tennis et une fondée de pouvoir en veulent trop pour leur bien-être. Passionnant.
LAURENCE DE COULON
ll y a un peu de Balzac et de Dostoïevski dans La soustraction des possibles, mais aussi du Bonnie and Clyde. Après Chaleur, Prix du polar romand, Joseph Incardona écrit l’histoire de deux ambitieux qui se frottent d’un peu trop près au monde de la finance internationale et à la mafia.
A Genève, en 1989, Aldo, prof de tennis, n’a que ses muscles et ses prouesses sexuelles pour s’enrichir. Svetlana, brillante jeune femme originaire de Tché- coslovaquie, veut grimper dans la hiérarchie de sa banque, où seuls les hommes de bonne famille semblent avoir leur chance.
Comment…