Naître en avril 2020 est un début de vie singulier. Le coronavirus s’est imposé dans l’aventure. Avant, pendant et après l’accouchement. Entre craintes et adaptations, trois familles gruériennes racontent.
PRISKA RAUBER
NAISSANCES. Timéo, Aude et Aloys ont ceci en commun qu’ils ont vu le jour pendant la pandémie. Ils vont bien, leurs parents aussi, mais leur arrivée dans ce monde fut singulière. A un moment où le monde décompte ses morts, le virus s’est imposé dans leur aventure. Avant, pendant et après l’accouchement.
«Le plus difficile était de ne pas savoir si le papa pourrait être présent dans la salle d’accouchement», confie Isabelle Charlet, de Vuadens, qui a donné naissance à Aude, son premier enfant, le 10 avril à l’HFR-Fribourg. Positivement testés au Covid-19 ou en cas de…