L’enseignement présentiel a été interrompu le 16 mars. Du jour au lendemain, profs et élèves ont dû totalement changer de fonctionnement. Une expérience qui a duré jusqu’au 11 mai, vécue très différemment selon les niveaux, les professeurs, les élèves, les lieux, les aptitudes, les matières ou les situations personnelles. Trois enseignants se confient.
PRISKA RAUBER
CÉLESTE PHILIPONA, 27 ANS, ENSEIGNANTE DE 5-6H,
«Pour moi, l’enseignement à distance n’a pas été si compliqué. A part scanner des documents, faire de la mise en page Word et organiser des visioconférences, cela ne m’a pas demandé beaucoup de compétences numériques. Et l’équipe enseignante de l’établissement a beaucoup collaboré. Après l’annonce des mesures de semi-confinement, nous avons pris une semaine pour nous organiser,…