CHLOROTHALONIL. Plus de 40% des eaux potables du canton présentent des taux préoccupants de métabolites du chlorothalonil (La Gruyère du 7 juillet). Le canton a empoigné le problème, mais il attendait la position de la Confédération sur les mesures à prendre. C’est désormais chose faite avec une directive fédérale qui vient d’être publiée. Dans un communiqué, la Direction des institutions, de l’agriculture et des forêts se réjouit de cette décision qui conforte la stratégie mise en place. La directive impose un délai de deux ans pour résoudre le problème de la présence de métabolites du chlorothalonil dans l’eau potable. Dans un esprit de proportionnalité, une prolongation est toutefois possible lorsque la mise en œuvre des prescriptions s’avère difficile. Le chlorothalonil est un…