La danse qui passe du noir au blanc

jeu, 08. oct. 2020

Après l’impressionnant Mire, la chorégraphe vaudoise Jasmine Morand poursuit sa recherche autour des corps et de la perception des spectateurs. Lumen, que sa compagnie Prototype Status présente jeudi et vendredi à Nuithonie, joue à nouveau avec le miroir et un dispositif qui trouble le point de vue. En référence, notamment, à la peinture de Pierre Soulages, elle s’intéresse en outre à l’obscurité et à la lumière. Interprété par 13 danseuses et danseurs, Lumen va en effet «prendre racine dans l’obscurité pour converger vers l’éblouissement», indique le dossier de presse. Le spectateur passera du noir au blanc, d’un infini à l’autre. «Stimulant le besoin d’intercepter et interpréter ce qui apparaît au regard, la pièce plongera les spectateurs dans une expérience à la fois introspective et…

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