«J’ai mal à ma commune»

A propos des Communales à Pont-en-Ogoz.

Il y a plus d’un an, un mois avant que notre pays ne plonge dans cette crise sanitaire sans précédent, nous avons perdu tragiquement notre fils de 13 ans. Cette épreuve, comme chacun peut s’en douter, fut un tsunami pour notre famille, mais aussi pour toutes les personnes, enfants et adultes, qui ont connu de près ou de loin notre fils. La mort d’un enfant n’est pas dans l’ordre des choses et nous renvoie chacun à ce sentiment douloureux d’impuissance. Comme le dit si bien Khalil Gibran: «La tristesse apprend le langage des cœurs.» Nous avons pu le mesurer par l’incroyable élan de solidarité que les gens nous ont porté,
et en particulier les habitants de notre commune, que nous tenons encore vivement à remercier. Cette épreuve nous a confortés dans notre foi en l’humanité…
Aujourd’hui, la commune de Pont-en-Ogoz fait beaucoup parler d’elle à la suite d’une suspicion de fraude électorale. Cette affaire est entre les mains de la justice qui va faire son travail et rendre ses conclusions. Alors, pourquoi tant de rumeurs, d’interprétations, de déclarations ou conclusions hâtives qui créent un climat malsain et attisent des haines au sein de notre communauté? J’ose espérer aujourd’hui encore que l’intégrité, la bienveillance et le bon sens qui demeurent dans le cœur de nombreux citoyens de notre commune puissent apaiser certains ego combatifs. «L’humanité est un océan que quelques gouttes
impures ne sauraient salir.» Caroline Crettenand, Pont-en-Ogoz

Catégorie: 

Annonces Emploi

Annonces Événements

Annonces Immobilier

Annonces diverses